En quoi le sexe est bon pour la sante?

Explication du mythe en 7 points

Ça fait déjà bien longtemps qu’on sait que le sexe c’est bon. Ce fait est connu de tous, et c’est même ancré au plus profond de nous, dans notre ADN même. En effet, biologiquement, l’homme est programmé pour procrée, et la femme, pour enfanter. C’est en grande partie ce qui explique notre attrait au sexe.

Cependant, depuis quelques décennies, le sexe n’a plus la même signification. Ce n’est plus un tabou, ni un mystère. En fait, c’est même tout le contraire: les plus jeunes générations cherchent à tout expérimenter, à tout connaître, bien au contraire de leurs ancêtres. Mais alors… Est-ce que c’est positif ou négatif? A-t-on tendance à oublier que l’essence même du sexe c’est l’amour, ou la démocratisation du sexe est-elle un état de fait positif pour la population? Personne ne possède la vérité absolue… Pourtant, je peux déjà vous dire que le sexe a une incidence positive sur la (très) grande majorité des humains.

Lisez la suite de cet article, et vous en saurez plus sur les vertus et les bienfaits du sexe.

démocratisation du sexe

Le désir, ça nous renforce?

De nombreuses études confirment que le désir, qui est notre pulsion de vie, contribue à notre longévité. Déjà, c’est parce que le plaisir ressenti en faisant l’amour rend heureux, et que cet état d’euphorie est excellent pour le système immunitaire. Ce plaisir physique provoqué par l’amour, est une source d’énergie pour l’homme (et la femme) et il favorise l’équilibre hormonal, donc l’harmonie du corps et de l’esprit. L’orgasme, qui provoque une explosion des endorphines dans le cerveau, va créer une sensation euphorique, puis de bien-être calme, ce qui va réduire le stress, l’anxiété (et va permettre un sommeil plus réparateur). Finalement, on peut presque dire que faire l’amour avec quelqu’un, c’est (quelque part) lui rendre service, et lui servir de médicament! Nos escort girl peuvent vous démontrer tous ces bénéfices.

Le coeur du sexe

… Ou comment le sexe présèrve le coeur. En fait, même si durant vos ébats les plus mouvementés, vous avez parfois l’impression que votre palpitant est à deux doigts de lâcher, la vérité c’est que l’activité sexuelle est excellente pour le cœur. Chez la femme, l’abstinence et l’insatisfaction sexuelle augmenterait les risques d’infarctus du myocarde. Chez les hommes, selon une étude de l’université de Bristol, le risque de mortalité cardio-vasculaire est réduit de moitié pour ceux qui aiment (et pratiquent) régulièrement une activité sexuelle.

En fait, c’est très simple. Le sexe est une excellente activité physique, puisqu’il active le système cardiovasculaire et il le stimule. En plus de ça, la sueur générée permet d’éliminer les toxines et de tonifier les muscles.

Pas besoin de compter et de chercher la quantité de rapports non plus. Ce qui est réparateur est bon pour le corps, c’est avant tout généré par le désir. Donc il est important d’entretenir son désir, sans le forcer pour autant.

sexe est une excellente activité

L’hormone de l’amour

Quand on fait l’amour, on sécrète beaucoup (vraiment beaucoup) d’hormones. De l’adrénaline à la dopamine, c’est un peu un énorme cocktail. Mais voilà: l’hormone qui nous lie entre être humain, celle qui est à l’origine des sentiments, ou du moins qui les amplifie et les renforce, c’est l’ocytocine. Avec beaucoup de caresses, de câlins, et de baisers, elle atteint son maximum au moment de l’orgasme. On la connaît aussi pour déclencher l’accouchement et développer l’attachement mère-enfant, et en plus elle joue un rôle important dans la protection contre le cancer du sein. Libérée par la stimulation des mamelons lors des échanges sexuels, elle aiderait aussi à éliminer les éléments carcinogènes (qui peuvent donner le cancer) à l’intérieur des mamelons. Les femmes dont la poitrine est régulièrement caressée pendant les échanges sexuels sont donc mieux protégées du cancer du sein. Faire l’amour booste la circulation générale du sang. Donc même en cas d’abstinence… Il est conseillé d’au moins se caresser.

La morale de l’histoire: cette hormone que le sexe permet de libérer contribue beaucoup à être heureux de manière générale dans sa vie.

La fameuse excuse

 

On connaît tous le cliché de la femme qui n’as pas envie de faire l’amour, et qui trouve un pretexte pour se tirer de cette situation: “Non chéri, pas ce soir: j’ai mal à la tête”. Elle est bien connue. En vérité, c’est bien le contraire. Les relations sexuelles permettraient en fait de soulager les maux de têtes, et même les migraines. Pourquoi? Lors d’un rapport sexuel, les endorphines (tient, encore une de ces hormones miracle!) vont être libérées ce qui va calmer la douleur, et réduire sa perception. En plus, puisque l’afflux sanguin se fera plutôt vers les parties génitales donc… on sentira moins sa tête.

Le sexe ça rend intelligent?

Alors non. Pas directement… et pourtant, c’est presque le cas. En 2010, une étude a montré que les neurones des rats ayants des rapports sexuels fréquents ont leurs zones utilisées pour l’apprentissage et la mémoire qui s’aggrandissent. Pourquoi? Simplement car le plaisir induit une disponibilité plus grande du corps et de l’esprit et que le stress va (en général) réduire cet état de concentration.

Sexe et sommeil

Encore une autre vertu. Lors d’un rapport sexuel, de nombreuses hormones sont secrétées donc les endorphines (que vous commencez d’ailleurs à bien connaître). Cela favorise un état de détente, mais aussi la secrétion de prolactine, une hormone qui va servir à considérablement baisser le niveau de stress chez un individu. Pour l’anecdote, la prolactine c’est l’hormone qui est impliquée dans la production de lait maternel. D’où l’expression “dormir comme un bébé”...

Pour les hommes seulement

Le sexe n’est pas discriminatoire! Que vous soyez un homme ou une femme, il aura des vertus. Pour les hommes par contre, selon plusieurs études, avoir des éjaculations régulières, à raison de 21 fois dans le mois pour les hommes âgés entre 20 et 29 ans, permettrait de minimiser le risque de développer un cancer de la prostate. Le risque serait réduit de 19% à peu près, pour les hommes du même âge qui éjaculent moins dans le mois.